再驳抹黑新疆的谎言
联合国人权高专巴切莱特女士刚刚结束访华,其间她还到访了新疆地区。不出所料,一些不甘寂寞的西方媒体借着此访又开始搬弄是非,恶意翻炒新疆问题。5月25日的《世界报》连刊多版涉疆文章,炒作所谓的“新疆警察档案”。来而不往非礼也,我们不妨来扒一扒这个“反华专业户”的典型套路。
先看“档案”获取渠道。文章称这些文件是黑客从新疆警方电脑服务器中获取的缓存数据。正人必先正己。众所周知,西方国家向来口口声声地高调反对网络攻击行为,甚至将自己描绘成黑客攻击的受害者,动辄不分青红皂白地栽赃中国。然而以“西方主流媒体”自居的《世界报》等非但不去严厉谴责这种网络犯罪行为,反而沾沾自喜地拿着“剽窃”来的所谓“新疆警察档案”故弄玄虚、蒙蔽世人,可谓“双标”至极。
再看“档案”的真实性。新闻报道的首要原则是确保信息真实性。网络时代,各类虚假信息比比皆是。作为知名大报,《世界报》在未对“新疆警察档案”有关内容进行认真考证的情况下,就忙不迭地公开发表,并以此给中国扣上压迫少数民族的莫须有罪名,未免太过儿戏。文章称这些文件得到了14家国际媒体的核实,我们不禁要问,这些国际媒体如何核实?有何根据?为什么不向中方核实?这其中隐藏了多少猫腻不言自明。
接着看“档案”披露的细节。首先,文章说,“2000-2018年,新疆疏附县和特克斯县共拘押2万余名维吾尔族人”。如果该数据属实,近20年来两县拘押人数仅占总人口的0.4%。反观美国,其总人口占全球比例不到5%,却关押了全球25%的犯人。况且,任何国家都有社会治安问题,新疆曾是暴恐案件多发频发地区,加上各类刑事案件、治安案件,新疆地方公安部门依法拘押犯罪分子合情合理。美国、法国等西方国家难道会让犯罪分子逍遥法外吗?
其次,文章说,“疏附县的职业教育培训中心里有8000人,如此高的监禁率,甚至超过斯大林时代,是中国全国平均监禁率的64倍”。《世界报》完全是在玩弄偷换概念的把戏。教培中心里的是学员,根本不是什么被拘押的罪犯。试想,如果有中国媒体拿巴黎一所寄宿学校的学生来与法国监狱的服刑人员作比较,法国人会作何感想?
再次,文章煞有介事地描绘了教培中心学员所遭受的种种骇人听闻的虐待,比如有的学员因不服从管理被活活打死,有的头戴头罩、手戴手铐、脚拴脚链,有的坐在“老虎凳”上接受审讯等等。如此种种场景似曾相识,这些臆想出来的各种“受虐”画面皆出自西方文学和影视作品,当然也出自西方的现实。反华势力编造的涉疆谎言,恰恰是美国等西方国家自身人权劣迹的真实写照。比如美国历史上对印第安人的种族灭绝、纳粹德国对犹太人的大屠杀、美国中情局在古巴关塔那摩和伊拉克阿布格莱布设立的“黑监狱”。不难看出,那些反华诽谤者们正是从西方国家自己曾经犯过和正在犯的暴行中汲取“灵感”,通过复制粘贴罗织出种种污蔑中国的罪名。
一些西方记者已经被意识形态蒙蔽了双眼,他们宁愿相信几个“演员”演绎的弥天谎言,却不愿听取2500多万新疆各族人民的共同心声,不愿正视新疆发展进步的真实情况。他们污蔑中国政府在新疆实行“种族灭绝”,却看不到40多年来新疆维族人口从555万增长到近1200万的事实;他们指责中国系统性消灭维吾尔族语言文化,却看不到人民币纸币上都印有维吾尔族文字、新疆使用7种语言开展中小学教育、新疆人民广播电台使用5种少数民族语言播出节目的事实;他们诋毁中国政府在新疆压制宗教信仰自由,却看不到全疆拥有2万多座清真寺的事实。试问,这些在新疆问题上聒噪不止的人,有几个真正踏上过新疆的土地?明眼人都清楚,他们并不在乎什么是真相,不过是醉心于政治操弄罢了。
是非自有曲直,公道自在人心。反华势力的污蔑抹黑蒙蔽不了世人,也阻挡不了新疆社会安定团结、经济繁荣发展的坚定步伐。
Démasquons, à nouveau, les mensonges sur le Xinjiang
La Haute-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme Mme Michelle Bachelet vient de terminer sa visite en Chine, au cours de laquelle elle s’est rendue dans la région du Xinjiang. Sans surprise, certains médias occidentaux n’ont pas résisté à leur impulsion démagogique pour cancaner et faire un grand tapage au sujet du Xinjiang. Dans son édition du 25 mai, Le Monde a publié sur plusieurs pages consécutives des articles manipulateurs et mensongers sur les prétendues « révélations des ‘Xinjiang Police Files’ ». Comme un adage chinois le dit, ne pas répondre à la courtoisie, c’est manquer de courtoisie. Révélons maintenant les combines de ce quotidien spécialisé dans le « China-Bashing ».
Commençons par la source des « fichiers ». Le journal affirme que les fichiers seraient des données piratées à partir des ordinateurs de la police du Xinjiang. « Il faut être droit soi-même avant de demander aux autres d’être droits. » Les pays occidentaux ont toujours prétendu haut et fort qu’ils s’opposaient aux cyberattaques, se présentant même comme des victimes de piratages informatiques et calomniant toujours sans vergogne la Chine. Or, au lieu de condamner ce cybercrime, les soi-disant « médias occidentaux de référence » comme Le Monde se gargarisent de brandir ces prétendus « Xinjiang Police Files » piratés pour duper l’opinion publique. Un cas d’école du « deux poids deux mesures ».
Regardons ensuite la véracité de ces « fichiers ». Le premier principe du journalisme est de garantir l’authenticité de l’information fournie. À l’ère de l’Internet, les fausses informations fusent dans tous les sens. En tant que grand journal de renom, Le Monde n’a-t-il pas agi trop à la légère en s’empressant de publier les « Xinjiang Police Files » sans en vérifier le contenu et accusant gratuitement la Chine de répression des minorités ethniques ? Le journal prétend que ces documents ont été vérifiés par un groupe de 14 médias internationaux. Mais comment ces médias internationaux ont-ils vérifié ? Par quels moyens ? Pourquoi n’ont-ils pas vérifié auprès des autorités compétentes chinoises ? Il se trouve là-dessus quelques manigances.
Revenons maintenant sur les détails « révélés par ces fichiers ». D’abord, le journal affirme que de 2000 à 2018, plus de 20 000 Ouïghours auraient été détenus dans les districts de Shufu et de Tekes dans le Xinjiang. Si ces chiffres étaient vrais, le nombre de détenus dans les deux districts au cours des 20 dernières années ne représenterait que 0,4% de leur population totale. En revanche, les États-Unis, dont la population représente moins de 5 % de la population mondiale, détiennent 25 % des prisonniers du monde. En plus, tous les pays connaissent des problèmes d’insécurité. Le Xinjiang était autrefois une région où sévissaient les crimes terroristes, auxquelles s’ajoutaient diverses affaires criminelles et infractions liées à la sécurité publique. Il est totalement raisonnable pour les autorités de sécurité publique du Xinjiang de détenir des criminels conformément à la loi. Les États-Unis, la France ou d’autres pays occidentaux laisseraient-ils les criminels impunis ?
Puis, le journal affirme que « le nouveau “centre de formation professionnelle”(CFP) du district de Shufu détient 8 000 personnes... Ce taux de détention considérable dépasse ceux du stalinisme. Et “il est 64 fois plus élevé que le taux d’emprisonnement national de la Chine” ». Le Monde joue un tour de passe-passe consistant à dénaturer les notions. Ceux dans les centres d’éducation et de formation sont des stagiaires, pas des criminels détenus. Imaginez ce que ressentiraient les Français si certains médias chinois comparaient les élèves d’un pensionnat parisien à des prisonniers.
Ensuite, le journal dépeint la bouche en cœur divers mauvais traitements épouvantables qu’auraient subi les stagiaires du centre d’éducation et de formation : certains stagiaires auraient été matraqués à mort pour désobéissance ; certains porteraient des menottes dans le dos, un couvre-chef et des entraves ; et certains seraient interrogés, immobilisés sur la « chaise du tigre », etc... Ces descriptions et ces scènes de « torture » nous donnent un sentiment de déjà-vu : elles viennent de la littérature et du cinéma occidentaux, et bien sûr relèvent de la réalité occidentale. Les mensonges sur le Xinjiang inventés par les forces antichinoises sont justement le reflet fidèle du bilan déplorable des États-Unis et d’autres pays occidentaux en matière de droits de l’homme, par exemple, le génocide commis à l’encontre des Amérindiens dans l’histoire américaine, l’holocauste des Juifs dans l’Allemagne nazie, ou les « sites noirs » de la CIA à Guantanamo Bay à Cuba, et à Abu Ghraib en Irak. De toute évidence, ces détracteurs antichinois puisent l’« inspiration » dans les atrocités qui ont été et qui sont en train d’être commises par certains pays occidentaux eux-mêmes, et en font copier-coller pour concocter des chefs d’accusation contre la Chine.
Certains journalistes occidentaux sont voilés aux yeux par les préjugés idéologiques. Ils préfèrent se fier aux mensonges de quelques « acteurs » plutôt que d’écouter les voix des plus de 25 millions d’habitants tous groupes ethniques confondus du Xinjiang et de regarder en face la réalité du développement et des progrès du Xinjiang. Ils accusent le gouvernement chinois de commettre un « génocide » au Xinjiang, en dépit du fait que la population ouïghoure du Xinjiang est passée de 5,55 millions à quelque 12 millions d’habitants en quatre décennies. Ils accusent la Chine de supprimer systématiquement la langue et la culture ouïghoures, au mépris du fait que l’écriture ouïghoure est imprimée sur tous les billets en RMB, que l’enseignement primaire et secondaire est dispensé en sept langues dans le Xinjiang et que la radio populaire du Xinjiang diffuse des programmes dans cinq langues d’ethnies minoritaires. Ils accusent le gouvernement chinois de réprimer la liberté de croyance au Xinjiang, feignant de ne pas voir qu’il y a plus de 20 000 mosquées dans la région. Parmi ceux qui font tant de bruit au sujet du Xinjiang, combien y ont mis les pieds ? Tout le monde sait qu’ils ne s’intéressent pas à la vérité, mais s’adonnent à la manipulation politique.
La justice se trouve dans le cœur de chacun. La campagne de stigmatisation des forces antichinoises ne trompera pas le monde, ni n’arrêtera les avancées résolues du Xinjiang vers la stabilité, l’unité, le développement et la prospérité.
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